Communiqué de presse

Communiqué de presse

EDMONTON, LE 16 MAI 2022 –  «Le pouvoir de la collaboration» est le thème de la Semaine des victimes et survivants d’actes criminels de cette année, qui aura lieu à travers le Canada du 15 au 21 mai 2022. La Semaine des victimes et survivants d’actes criminels a pour but de faire connaître les problèmes auxquels sont confrontées les victimes d’actes criminels. Elle a également pour but de faire connaître les services et les lois qui sont en place pour venir en aide aux victimes, aux survivants et à leurs familles. 

Cet événement revêt un caractère important pour notre communauté, spécialement pour les femmes qui continuent d’être surreprésentées parmi les victimes de violence conjugale.

«Au Canada, où une femme ou une fille est tuée tous les deux jours, les chiffres sont aussi demeurés remarquablement constants depuis 40 ans. La COVID-19 a entrainé une augmentation, en particulier en 2021, comme le montrent les données les plus récentes de l’OCFJR (Observatoire canadien du féminicide pour la justice et la responsabilisation). Par exemple, en comparant les chiffres de 2019 et ceux de 2021, on constate que 36 femmes et filles de plus ont été tuées en 2021 par rapport à l’année prépandémique 2019. Ceci représente une augmentation de 26 % de ces meurtres» (d’après Myrna Dawson, professeure et titulaire de la chaire de recherche sur le leadership de l’Université de Guelph). 

La Coalition des femmes de l’Alberta souligne la Semaine des victimes et survivants d’actes criminels à travers plusieurs activités, en personne et en ligne. Nous ferons entendre la voix des victimes à travers une campagne d’information sur les réseaux sociaux. Nous tiendrons également des ateliers virtuels relatifs aux volets juridique et cybersécuritaire. Ces ateliers favorisent le développement de connaissances en matière de justice criminelle et comment protéger nos jeunes en ligne. 

Vous pouvez consulter notre site Internet pour obtenir les détails des activités. 

Ces ateliers sont financés par le Fonds d’aide aux victimes, un programme de subventions et de contributions administré par le ministère de la Justice du Canada, en vue renforcer la voix des victimes et survivants d’actes criminels dans le système de justice pénale. 

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la Semaine des victimes et survivants d’actes criminels, consultez le site Web www.semainedesvictimes.gc.ca

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La Coalition des femmes de l’Alberta contribue au progrès social, politique et économique des Albertaines parlant français, en menant des initiatives innovantes, diverses et intersectorielles pour assurer la sécurité, l’épanouissement et le succès de toutes les femmes et jeunes filles (*) de l’Alberta.

(*)  Femmes inclut toutes les personnes s’identifiant au genre féminin

Droit à l’avortement – Informations et Ressources

Droit à l'avortement

L’ avortement est le droit d’une femme si elle le choisit, et il demeure légal au Canada.  Si vous avez besoin d’informations, voici une liste de ressources et services disponibles en Alberta.

 

Alberta Health Services –  https://www.albertahealthservices.ca/findhealth/service.aspx?Id=1003402

Woman’s Health Options –   https://womanshealthoptions.com

Pregnancy care center –  https://www.pregnancycarecentre.ca 

Birth Control Centre – https://informalberta.ca/public/service/serviceProfileStyled.do?serviceQueryId=5884 

The Abortion Recovery Centre – https://www.abortionrecovery.ca

WOMEN’S CENTRE FOR HEALTH (WEAC) – https://www.bmhc.net/womens-health-clinic.html 

Full Circle – Women’s clinic – https://www.fullwomensclinic.ca 

Central Alberta Pregnancy Care Centre – https://www.pregnancycare.ca 

Women’s Health Clinic – https://sphinxmedicalgroup.com/womens-health-clinic

Blog du mois de juin 2022

 

 

Pour clôturer en beauté le mois de l’histoire des peuples Autochtones, allons à la rencontre avec Angelina Yellowbird, une jeune femme du peuple Cri des Plaines qui vient nous parler avec fraîcheur de sa culture.

Juin est le Mois national de l’histoire autochtone au Canada; un moment pour réfléchir à la manière dont les Premières Nations, les Inuits et les Métis ont façonné notre histoire, notre culture et notre identité collective. Les précieuses contributions des peuples autochtones à l’environnement, à l’agriculture, aux arts, aux traditions et à notre mode de vie sont célébrées durant ce mois, offrant aux autres Canadiens et aux visiteurs l’occasion d’en apprendre d’avantage et de sensibiliser le public

La journée de 21 Juin coïncide avec le solstice d’été, qui est le plus long jour de l’année. Pour bien des gens, cette journée possède une signification spirituelle et c’est un bon moment pour célébrer les peuples et les cultures autochtones. C’est un moment spécial pour de nombreux peuples autochtones d’Amérique du Nord. Les activités de la Journée nationale des peuples autochtones sont organisées partout au Canada alors gardez un œil sur les calendriers des activités de votre région en cliquant sur ce site:  canada.ca/journee-nationale- peuples-autochtones. 

 Vivons au rythme du pow-wow ! 

Il s’agissait traditionnellement d’un événement religieux (chamanisme) ou de la célébration d’exploits guerriers. Aujourd’hui, il existe un véritable « circuit » de pow-wow qui sont devenus des manifestations festives et une occasion pour les Autochtones de faire vivre leur héritage culturel

NOTRE CULTURE ,

UN MODE DE VIE AUTOCHTONE

Les cultures sont liées aux modes de vie et les Autochtones aiment bien célébrer le patrimoine laissé par leurs ancêtres. Les langues autochtones sont composées de plusieurs familles linguistiques. Pour parler de toutes les Premières Nations, les Algonquins utilisent le mot « anicinabec ». Par exemple, les langues tahltan et beaver font partie de la grande famille athapaskane. La langue algonquine est aussi une des nombreuses familles linguistiques autochtones. Une famille linguistique rassemble plusieurs langues.

Ils existent 3 groupes: les premières Nations ,les Inuits et les metis

Beaucoup de Metis parlent LE MECHIF !

Beaucoup Inuit parlent L’Inuktut!

Aujourd’hui, la culture est l’élément clé de notre fierté. Les langues, les cultures et l’histoire des Autochtones sont transmises par nos familles, nos Aînés et nos enseignants. En 1999, le premier réseau de télévision autochtone au monde a été créé. Le réseau APTN, ou réseau de télévision des peuples autochtones, offre aux Autochtones une formidable occasion de partager régulièrement leurs histoires à la télévision avec le reste du pays. Pour tous les Canadiens et Canadiennes, ce réseau ouvre une fenêtre sur le monde incroyablement diversifié des Autochtones au Canada et dans les autres pays.

Les Autochtones sont des gens très dynamiques et créatifs. Un très grand nombre de leurs réalisations font la fierté de tous les Canadiens et Canadiennes.

Blog du mois de mars 2022

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LA REPRESENTATION DES FEMMES DANS LE MONDE: OÙ EN SOMMES -NOUS ?

La participation pleine et équitable des femmes dans tous les éléments constitutifs de la société est un droit humain fondamental.
Pourtant , à l’échelle mondiale, que ce soit en politique, dans les divertissements ou sur le lieu de travail, les femmes et les filles sont largement sous-représentées.Les illustrations ci-dessous présentent un tableau détaillé du déséquilibre entre les sexes au fil du temps , indiquant à quel point les progrès ont été lents.
Ancre dans les normes et traditions patriarcales, ce déséquilibre est lourd de conséquences néfastes et négatif sur le bien être personnel, économique et futur des femmes et des filles, de leurs familles et plus généralement de leurs communautés

Politique  

La représentation politique des femmes dans le monde a doublé ces 25 dernières années. Toutefois, cela ne représente qu’environ une femme sur quatre parmi les parlementaires aujourd’hui. En conséquence, plus de trois quarts des sièges sont occupés par des hommes.

Les femmes continuent d’être largement sous-représentées aux plus hauts postes politiques. En octobre 2019, on ne comptait que 10 femmes cheffes d’État et 13 femmes cheffes de gouvernement dans 22 pays, contre quatre femmes cheffes d’État et huit femmes Premières ministres dans 12 pays en 1995.

En juin 2019, la liste de Fortune 500 a battu les records, avec le plus grand nombre de femmes directrices générales jamais enregistrées au classement. Bien que la moindre avancée soit un gain, le tableau dans son ensemble est bien sombre : sur les 500 directeurs généraux à la tête des entreprises aux plus hauts revenus, seulement moins de 7 pour cent sont des femmes.

S’agissant de la main-d’œuvre dans son ensemble, les disparités entre les sexes en matière de participation à la main-d’œuvre chez les adultes en âge d’activité professionnelle maximale (de 25 à 54 ans) ont stagné ces 20 dernières années. L’amélioration de l’éducation parmi les femmes a très peu contribué à enrayer la ségrégation professionnelle profondément ancrée dans les pays développés et les pays en développement. Les femmes continuent d’assumer une part disproportionnée des soins et des travaux domestiques non rémunérés. Dans les pays en développement, cela comprend diverses tâches pénibles telles que la collecte d’eau, dont les femmes et les filles sont responsables dans 80 pour cent des ménages qui n’ont pas accès à de l’eau sur place.

Décerné chaque année en reconnaissance d’accomplissements intellectuels et d’avancées académiques, culturelles et scientifiques, le prix Nobel a récompensé plus de 900 personnes au cours de son histoire, de 1901 à 2019. Seulement 53 des lauréats sont des femmes, dont 19 dans les secteurs de la physique, de la chimie, et de la physiologie ou de la médecine. Marie Curie est devenue la première femme lauréate en 1903, lorsqu’elle et son mari se sont vus décerner conjointement un prix Nobel de physique. Huit ans plus tard, elle a reçu, seule, le prix Nobel de chimie, faisant d’elle la seule femme de toute l’histoire à remporter deux fois le prix Nobel. Bien que les femmes aient été à l’origine d’un certain nombre de découvertes scientifiques tout au long de l’histoire, seulement 30 pour cent des chercheurs du monde entier et 35 pour cent de l’ensemble des étudiants poursuivant des études dans des domaines liés aux STIM (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques) sont des femmes.

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#16jours

Blog du mois de décembre

#16 JOURS D’ACTIVISME CONTRE LA VIOLENCE FONDEE SUR LE SEXE.

 

En 1991, L’institut de Leadership global des femmes a lancé pour la première fois les #16jours d’activisme contre la violence sur le sexe.

Du 25 novembre au 10 décembre de chaque année, les Canadiennes et les Canadiens soulignent ces journées qui sont une occasion de se réunir pour dénoncer la violence fondée sur le sexe et aussi de renouveler une volonté commune d’y mettre un terme.

Il faut remarquer que chaque année, malheureusement, le nombre de victime augmente. Selon « Observatoire canadien du féminicide pour la justice et la responsabilisation”, 160 femmes et filles ont été tuées par la violence au Canada en 2020 (comparé à 118 en 2019). Ce qui ressort une moyenne d’une femme ou d’une fille tuée tous les 3 jours, à une femme ou une fille tuée tous les 2-3 jours.  

Il est vrai qu’au Canada tout le monde qu’importe son genre, est susceptible d’être une victime de violence, mais il existe des groupes plus à risque. On peut citer notamment les jeunes femmes et jeunes filles, les femmes et les filles autochtones, les personnes LGBTQ2S+, les personnes vivant dans des régions nordiques, rurales ou éloignées et les femmes en situation de handicap.

On fait aussi le triste constat selon le gouvernement du Canada, que les femmes sont plus susceptibles que les hommes de subir la violence de leur partenaire intime. D’ailleurs selon les données déclarées par la police en 2018, les femmes représentaient près de 8 victimes sur 10 (79 %) de violences entre partenaires intimes. Les femmes représentent également la grande majorité des victimes d’homicides entre partenaires intimes. Selon les données déclarées par la police, les femmes représentaient près de 8 victimes sur 10 (77 %) des homicides entre partenaires intimes commis en 2018. Toujours selon les statistiques du gouvernement du Canada, les femmes sont plus susceptibles que les hommes d’être agressées sexuellement. Entre 2009 et 2014, la grande majorité (87 %) des victimes d’agression sexuelle déclarées par la police étaient des femmes ou des filles, dont la plupart (70 %) avaient moins de 25 ans.

Il est tout aussi urgent et capital de rappeler que les femmes ne sont pas les seules victimes lorsqu’elle subissent des violences familiales et intimes. Selon Femmes et égalités des genres, les données déclarées par la police montrent que, de 2017 à 2018, le taux de violence familiale envers les enfants et les jeunes a augmenté de 7 %, tandis que le taux de violence non familiale a légèrement diminué (- 2 %). Selon les données provenant de la police, un total de 18 965 enfants et jeunes (17 ans et moins) ont subi de la violence familiale au Canada en 2018. De ce nombre, 11 417 étaient de sexe féminin (60 %), et 7 458, de sexe masculin (40 %).

Toute ces données nous montrent indiscutablement, qu’au-delà de la stupéfaction face aux chiffres, au-delà de la dénonciation, il y a une urgence d’actions. Oui, une urgence d’action a mené pour que les violences cessent et que le Canada soit un pays ou on ne craint pas d’être une victime de violence. Car une victime, c’est déjà une victime de trop. La période du 25 novembre au 10 décembre est justement l’occasion d’appeler la police (au 911) pour dénoncer un voisin violent avec sa femme, de signaler tout actes de violence auquel vous pouvez être témoin même venant d’un proche, de donner du crédit au témoignage des victimes plutôt que les remettre en question mais aussi et surtout, c’est l’occasion en tant que victime de libérer la parole pour que la culpabilité change de camp définitivement.

Votre action est attendue ; Posez-la aujourd’hui et tous les autres jours de l’année, ensemble levons nous, d’une seule voix pour dire non !

#16jours

Sources :

  • Femmes et égalités des genres
  • Observatoire canadien du féminicide pour la justice et la responsabilisation
  • Gouvernement du Canada

Liens supplémentaires :

En cas d’urgence, contacter sans délai 911

Ligne de crise https://femmes-egalite-genres.canada.ca/fr/centre-savoir-violence-fondee-sexe/lignes-crise.html

Pour du soutien supplémentaire https://femmes-egalite-genres.canada.ca/fr/centre-savoir-violence-fondee-sexe/services-soutien-supplementaires.html

Si vous souhaitez prendre part https://femmes-egalite-genres.canada.ca/fr/commemorations-celebrations/16-jours/participer.html

Pour vous éduquez et prévenir de la violence https://femmes-egalite-genres.canada.ca/fr/commemorations-celebrations/16-jours/boite-outils.html

Journée internationale de la fille

Blog du mois d’Octobre


Les filles qui ont marqué l'histoire du sport au canada

Le 11 octobre, c’était la journée internationale de la fille. Une journée où on porte l’attention sur la nécessité de permettre aux filles de se faire entendre dans la société et promouvoir leurs droits.

Dans le domaine des sports, ce n’est pas souvent qu’on entend parle des filles ou des femmes qui réussissent mais, il y a celles qui ont pu briller dans ce monde dit «des garçons».

Dans cet article, je vais vous faire découvrir quelques-unes des filles et femme

Commençons par le hockey, notre sport national, où on retrouve la première femme médaillée d’argent olympique le 23 septembre 1992Manon Rhéaume. Elle a réalisé un certain nombre de records historiques au cours de sa carrière, notamment être la première femme à jouer dans un match d’une équipe professionnelle majeure.

Chantal Petitclerc a battu plusieurs records mondiaux en course de fauteuil roulant entre 2004 et 2008. En décembre 2008, elle est devenue la première femme canadienne handicapée à recevoir le trophée Lou-Marsh, décerné à l’athlète de l’année au Canada. Elle a aussi emporté cinq médailles d’or lors des jeux paralympiques d’Athènes.

Une autre pionnière pour le hockey Daniele Sauvageau, est la première femme à être entraineuse dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec en tant qu’adjointe de Gaston Therrien avec le Rocket de Montréal.

Daniele
Hilda

Parlons maintenant de la première femme qui a ouvert la voie aux femmes dans le mouvement de l’olympisme au Canada : il ya 90 ans, plus précisément le 2 août 1932, elle finit au deuxième rang en athlétisme aux 100 mètres aux jeux olympiques de Los Angeles. Elle, c’est Hilda Strike, la femme la plus rapide au monde lors des JO de LA en 1932.

En 1991, Sylvie Fréchette remporte la première médaille d’or en championnat mondial de nage synchronisée solo. En 1996, elle remporte l’argent en nage synchronisée en équipe. Elle fut une inspiration dans le monde entier et est une figure importante dans l’histoire de la nage synchronisée.

Sylvie frechette

Il y en encore d’autres, qui ont marqué l’histoire du sport canadien et qui sont des inspirations pour nos jeunes filles qui aiment le sport et qui souhaitent se professionnaliser.

Pour le mois de la jeune fille, la Fédération du sport francophone de l’Alberta (FSFA), en collaboration avec la Coalition des femmes de l’Alberta a lancé la campagne #ElleBougeAdos / #TeensGirlsMove afin d’encourager les jeunes filles à faire de l’activité physique.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur www.lafsfa.ca

Le blog sur la rentrée scolaire 2021-2022

Rentrée (2021 - 2022)

Maman, c'est bientôt la rentrée que faire?

Voilà la fin des vacances d’été, on aurait bien voulu prolonger un petit peu mais ce n’est pas le cas, toutes les bonnes choses ont une fin ! La rentrée scolaire est sur le seuil de nos portes. Voici des astuces qui pourraient bien vous aider.

Astuce 1 : Faire participer vos enfants à la préparation

C’est le moment de faire vos achats de la rentrée scolaire. Et les enfants aimeraient bien que vous leur demandiez leur avis avant d’acheter les items qui vont se retrouver dans leur sac à dos. 

Pendant que vous dressez la liste, demandez à vos enfants leurs préférences du côté couleur, thématique et modèle.

Et pourquoi pas acheter vos items en ligne. Certains magasins offrent plus de choix sur la couleur des cartables, thermos et autres produits. Mais aussi, faire un tour en magasin avec les enfants pendant la fin de semaine pour qu’ils puissent choisir leurs propres items, ce n’est pas une mauvaise idée.

Astuce 2 : Assurez-vous que l’espace « École » est prêt dans votre maison

Vu les circonstances actuelles, c’est important voir essentiel d’avoir l’espace « École » pour faire l’école à la maison ou les devoirs.

Astuce 3 : La révision des matières​​

Il est bien d’aider vos enfants à s’adapter avant la rentrée en faisant une révision des matières, pour s’assurer qu’ils se rappellent bien des notions de l’année scolaire qui s’est terminée en juin et pour lesquelles ils éprouvaient des difficultés. Un bon survol permet à l’enfant de débuter l’année avec la confiance.

Astuce 4 : Reprendre les bonnes habitudes avant la rentrée scolaire​​

Il est bien préférable de vous remettre en douceur dans le rythme de la vie « professionnelle ».

Nous savons bien que pendant les vacances ont vies différemment. Nous avons tendances a nous coucher plus tard et aussi a nous lever plus tard.

Donc pour mieux aider vos enfants, il faut les coucher plut tôt non pas la veille de la rentrée scolaire mais plutôt le faire progressivement durant une dizaine de jours avant le jour J. Un enfant a besoin entre 9 – 13 heures de sommeil en fonction de son âge (les heures de sommeil par tranche d’âge ici)

 

 

Astuce 5 : Préparer les vêtements de la rentrée scolaire​​​

Les enfants grandissent vite. Et souvent, on est surpris quand ils essaient les vêtements et qu’on remarque que tout est devenu trop petit. Pour ne pas être désemparé au dernier moment, il vaut mieux faire le tri dans la garde-robe de vos enfants, et la vôtre aussi chers parents !

"Un enfant, un enseignant,un stylo et un livre peuvent changer le monde."​

Malala, Prix Nobel de la Paix.